30 avril 2011
Un jour j'ai mouru...
De leurs yeux, elles me fusillèrent instantanément, et leurs mini-franges se transformèrent en milliers de pointes acérées qui me transperecèrent.
Ce fut le noir total, je me sentais flotter, j'entendais leurs voix devenir floues... Puis la lumière blanche au bout du tunnel, cette sensation de liberté infinie...
Nan sérieux, rassurez moi, je suis quand même pas la seule sérial gaffeuse ici quand même, non?!
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